L’âge moyen de la maternité est passé de 24 à 31 ans. Mais aujourd’hui, on peut facilement avoir un enfant à 40 ou 50 ans. Cela ne veut pas dire que vous devez tout le temps remettre à plus tard. Au contraire, les femmes peuvent se sentir libres d’avoir des enfants à tout âge.
Que ce soit tomber enceinte naturellement ou par des techniques de procréation médicalement assistée comme la fécondation in vitro en Turquie, l’âge a une grande importance dans l’obtention d’ovule de bonne qualité.
Le bon âge pour avoir un enfant
Le taux de natalité est de plus en plus bas dans la plupart des sociétés. Nous avons de plus en plus des pays avec des personnes âgées et des berceaux vides. Pour une raison aussi : on attend trop longtemps, pour mille raisons, certaines sacro-saintes, d’autres exagérées, pour avoir un enfant. Nous passons les années de « l’état de grâce », lorsque la fertilité d’une femme est à son maximum, et entrons dans le cercle vicieux des doutes, des incertitudes et même de certains problèmes physiques.
L’âge idéal de la grossesse
Quand faut-il avoir un enfant ? La vie s’allonge, les modes de vie s’améliorent et le moment de la maternité change également. Et si, il y a quelques années encore, l’âge moyen des femmes qui avaient un enfant était de 24 ans, il est aujourd’hui de 31 ans. En plus du facteur biologique, il y a aussi l’élément social et économique. Une plus grande incertitude quant à l’autonomie, qu’il s’agisse du travail ou de l’aide de l’État pour élever un bébé, pousse le temps de la maternité à un point où il s’évapore malheureusement.
Et le facteur B, qui représente le bien-être, risque de créer une nouvelle discrimination parmi les femmes. Une recherche qui vient d’être publiée dans le New York Times définit deux variables qui éloignent l’âge des nouvelles mères. Les femmes qui vivent dans les villes côtières, qui sont plus riches et disposent de meilleurs services publics, ont leur premier enfant vers 31-32 ans. C’est plus tard que la moyenne. Les femmes qui vivent dans les régions intérieures et rurales, en revanche, ont leur premier enfant vers l’âge de 20 ans. Une deuxième différence, en revanche, concerne le facteur éducation : les filles, même dans la vingtaine, sans diplôme d’enseignement supérieur, considèrent la maternité comme une sorte d’échappatoire et d’émancipation, et ont donc des enfants plus tôt. Dans les deux cas, comme vous pouvez le constater, la différence divise l’univers féminin en deux, poussant les femmes les moins aisées (du lieu où elles vivent aux études qu’elles ont faites) vers des choix plus hâtifs et moins solides. Une discrimination plutôt odieuse, signe d’une époque qui divise de plus en plus les gens sur la base d’échelles de revenus. Même en ce qui concerne un choix aussi émotionnel que la maternité.