La correction du relâchement des paupières peut être fait par une intervention chirurgicale ou sans chirurgie. Dans le premier cas, la chirurgie esthétique des paupières, dite blépharoplastie, traite un fort relâchement des paupières et élimine le surplus de peau sur les yeux qui dérange la personne. Quant à la correction du relâchement des paupières sans chirurgie, c’est ce qu’on va découvrir dans cet article.
Correction des paupières sans chirurgie : quelles sont les indications ?
Il existe un traitement appelé blépharoplastie médicale qui traite un léger relâchement des paupières. Il consiste à utiliser un laser pour stimuler le derme et remonter les paupières sans chirurgie. L’application du laser permet à la peau de produire, ainsi, du collagène et raffermir la peau.
La blépharoplastie au laser traite aussi les poches sous les yeux et donne un coup de frais au regard qui sera rajeuni et aura l’air reposé.
Il existe un procédé appelé Plexr qui assure une rétraction des paupières au bout de 7 jours. Le nombre de séances nécessaires sera tributaire de l’importance du relâchement cutané des paupières.
Il s’agit de techniques non invasives qui rajeunissent le regard et lui donnent un coup de frais.
Retrouver un regard frais est possible grâce à la correction des paupières sans chirurgie. Toutefois, il faut s’assurer de la bonne indication et qu’on est éligible à ce traitement de médecine esthétique et qu’on n’a pas l’une de ces contre-indications.
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Quelles sont les contre-indications des interventions de correction des paupières ?
Sans chirurgie ou avec, il existe certaines contre-indications à ne surtout pas négliger pour la chirurgie esthétique des paupières. En voici quelque unes :
- une maladie de sécheresse des yeux
- une conjonctivite
- un glaucome non traité
- des problèmes de la cornée comme des ulcères par exemple
- tout autre problème en liaison de la bonne santé des yeux
Une bonne indication est nécessaire pour établir un diagnostic précis et faire le traitement correspondant. N’hésitez pas à faire les tests nécessaires et à demander des entretiens préopératoires pour mieux comprendre l’intervention et les risques qui lui sont associés.